Les psychologues ont un rôle primordial dans la prise en charge d’un AVC, je propose une prise en charge à domicile afin de faciliter l’inclusion des aidants familiaux dans la thérapie mais aussi pour améliorer la qualité de vie de la famille concerné.
Il est provoqué lors de l’obstruction d’une artère par un caillot de sang qui s’est formé à l’extérieur du cerveau et qui à voyagé jusqu’au cerveau. Seulement, les artères et veines du reste du corps sont souvent plus grosses que celles présentes dans le cerveau, donc lorsque le caillot arrive à l’entrée d’une veine du cerveau il est a trop gros pour passer et provoque ce que l’on appelle un Infarctus cérébral on parle aussi de thrombose ou d’embolie cérébrale ou encore d’AVC ischémique c’est à dire transitoire.
Il est du à la rupture d’un vaisseau sanguin. C’est à dire qu’une veine ou une artère se déchire et entraîne une hémorragie cérébrale aussi appelée méningée ou rupture d’anévrisme. Il s’agit bien d’une dilatation anormale de la paroi artérielle. Cette rupture de la paroi entraîne un saignement à l’intérieur du cerveau qui entraîne à son tour une augmentation de la pression à l’intérieur de la boîte crânienne.
Accident vasculaire cérébral (AVC). (s. d.). Inserm – La science pour la santé. Consulté 9 février 2020, à l’adresse https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/accident-vasculaire-cerebral-avc
Dans un premier temps il s’agit de mettre en place une prise en charge adaptée aux séquelles de cet accident. Les AVC peuvent toucher plusieurs parties du cerveau et donc entraîner des symptômes variables en fonction des parties touchées.
La marche, la motricité, le langage, la mémoire, c’est en générale un seul côté du corps qui se retrouve atteint. Il est donc primordial de mettre en place une prise en charge en kinésithérapie ainsi qu’en psychomotricité. D’autre part, une prise en charge chez une orthophoniste, ainsi qu’un psychologue sont fortement conseillé.
On pense souvent à s’occuper du malade, on mets en place un suivi médical et on appel plusieurs professionnels et la vie continue. Puis on adapte sont environnement lors du retour à la maison en faisant appel à une ergothérapeute par exemple. On va même jusqu’à changer ses heures de travaille de peur que la personne malade ait un problème à la maison. La vie familiale se réorganise autour du malade de façon à combler tout ses manques.
On résiste un moment, en essayant de rester poli et souriant bien que l’énergie vienne à manquer jusqu’au point de non retour.
Les aidants sont épuisés, il n’est alors plus possible de répondre correctement ou aimablement aux demandes du malade, c’est alors que commence des ruminations et un cercle de culpabilité sans fin. » Ce n’est pas sa faute je ne devrais pas lui parler comme ça mais en même temps qu’est ce qu’il me saoule et en plus il ne comprend rien et il ne change pas » . C’est souvent à ce moment là que l’on envisage une aide extérieur.
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Il y a d’une part la question du temps, les changement induits par l’AVC sur nos vies ont pris toutes les places libre qu’il nous restait, le temps libre est désormais alloué aux déplacement en voiture pour aller voire les différents spécialistes, ou pour remplir les tâches que sont conjoint remplissait auparavant. Le suivi à domicile permet donc de dégager du temps à l’aidant familial. Ensuite il y a aussi la question des handicaps induits par l’accident vasculaire cérébral, parfois le véhicule n’est plus adapté. Et enfin la question primordial à mon sens, La disponibilité des aidants et leur inclusion dans la thérapie.
On pense souvent que la thérapie concerne la personne touché par l’AVC mais cette maladie est envahissante et les aidants familiaux sont souvent accablés. La thérapie à domicile facilite l’inclusion de la famille dans la thérapie. la communication qui s’est détériorée des réflexions qui ne sont jamais entendu par le malade l’apparition de nouveaux symptômes comme l’achat compulsif, l’alcoolisme, les drogues, les pertes de mémoires, la dépression des montées d’agressivité, autant de symptômes qui peuvent être traités par le psychologue à domicile.
Concernera le patient directement de façon à permettre au patient d’exprimer ses émotions et de me faire part des difficultés qu’il ou elle rencontre de façon à trouver des solutions. Repérer d’autres symptômes éventuels et mettre en place un thérapie adéquate.
Dans un second temps l’aidant principal souvent le conjoint ou la conjointe peuvent faire partie de la thérapie à des fins d’éducation thérapeutique si les ils ne se sentent pas suffisamment renseigné sur l’évolution de la maladie ou sur les procédure administratives existantes. le but étant de former le malade et l’aidant à la prise en charge psychologique de l’AVC.
Dans un troisième temps il m’est souvent demandé d’aider les deux parties à communiquer ensemble et à se faire entendre. Je les formes donc à la communication non violente qui est une méthode mais aussi une façon d’être et de penser crée par Rosenberg et détaillée dans son livre: Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs) (2018).
Et enfin, lorsque cela est possible on intègre les aidants familiaux secondaire (les enfants, amis) ou ceux qui font partie du système familial du malade dans une thérapie familiale visant à offrir un espace de parole à ceux qui jusqu’ici n’avait pas l’impression d’avoir été entendu par le malade et ou l’aidant principal.
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Accident vasculaire cérébral (AVC). (s. d.). Inserm – La science pour la santé. Consulté 9 février 2020, à l’adresse https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/accident-vasculaire-cerebral-avc
ROSENBERG, M. B. (2018). Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs) : Initiation à la Communication NonViolente. La Découverte.